Implanté à Douvres la Délivrande (au nord de Caen, dans le département du Calvados), le Calvérable, comme de nombreuses pérégrinations entrepreneuriales, est un projet familial. Il englobe trois générations (grands-parents, parents et petits-enfants).
Son ambition première est de vous offrir une escale gustative sans égale, à la croisée des chemins du terroir normand et du savoir-faire canadien, mettant ainsi à l’honneur ce lien historique et indéfectible qui nous unit à la magnifique contrée du Québec.
En effet, si de nombreux normands ont participé à la création de la Nouvelle France, le Calvérable rend également hommage à tous les soldats venus délivrer l’Hexagone en juin 1944 et qui, au péril de leur vie, ont su faire des côtes normandes des terres de bravoure canadienne.
En apéritf comme en digestif, le Calvérable est un alcool volubile, affable et exigeant, synonyme de partage et de convivialité. Il s’envisage comme le parfait équilibre entre la vigueur d’un Calvados AOP Pays d’Auge aux notes épicées de vanille et de cannelle et les rondeurs sucrées d’un sirop d’érable artisanal aux contours ambrés et aux fragrances subtiles de sous-bois québécois.
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Tout commence lorsqu'un grand-père va rendre visite à sa petite fille au Québec. Elle y est partie pour étudier, et comme de nombreux jeunes européens, décidera de rester vivre dans ce très beau pays. Dans l'avion qui le ramenait en France, il ne le savait pas encore, mais il donnerait vit à cet élixir quelques mois plus tard et en confierait la commercialisation à sa fille et à son gendre. Une passion commune pour l'excellence réunissant trois générations coule dans cette bouteille…
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La première mention écrite de la distillation du cidre en Normandie apparaît dans un manuscrit de 1553. Gilles de Gouberville, gentilhomme du Cotentin (1522−1578) évoque alambic et eau-de-vie dans ses Mémoires. La tradition régionale lui attribue l'invention de l'eau-de-vie de cidre, et par extension du Calvados. L'appellation Pays d'Auge est le produit d'une double distillation et implique que l'on se sépare d'une partie de la production distillée, pour ne conserver que le meilleur.
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Le sirop d’érable était connu des populations natives bien avant l’arrivée des européens au Canada. Ils avaient découvert (un peu par hasard) le goût légèrement sucré de la sève d’érable et avaient appris à l’extraire pour fabriquer le sucre d’érable grâce à l’évaporation. Ce n’est qu’au début du 18è siècle que les québécois n’en tirèrent véritablement partie, avec l’apparition des premières cabanes à sucres. Sa température de chauffe est de 104 degrés Celsius et il faut environ 40 litres de sève pour obtenir 1 litre de sirop !
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- En fait, votre boisson, c'est un peu un Sortilège, mais normand ! (le Sortilège est un whisky au sirop d'érable, bien connu et très apprécié au Québec). - Vous avez réuni l'Ancienne France et la Nouvelle France dans la même bouteille (la Nouvelle France est le nom donné au Québec du temps des premiers collons). - Votre slogan : on peut être fort et doux à la fois, ce n'est pas du marketing, c'est vraiment ce que l'on ressent !
Conseils d'Amis
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Il est très ami avec le foie gras.
Il est très ami avec le foie gras -
Il l'est aussi avec les charcuteries.
Il l'est aussi avec les charcuteries. -
Les fromages en redemandent.
Les fromages en redemandent -
Il est parfait au moment du dessert.
Il est parfait au moment du dessert -
Et il peut se boire en Trou Normand.
Et il peut se boire en Trou Normand. -
En cocktail, avec du Champagne.
En cocktail, avec du Champagne. -
Ou, plus au sud, avec un Prosecco.
Ou, plus au sud, avec un Prosecco. -
Et même avec un Tonic artisanal français.
Et même avec un Tonic artisanal français.